Doctorante : Armelle Le Mouëllic
Titre de la thèse : “Une autre manière d’être architecte : perspectives historiques et réflexions contemporaines sur une pratique de machizukuri au sein du laboratoire de Satoh Shigeru à l’université de Waseda”.
Établissement d’obtention : Université Grenoble Alpes en cotutelle avec . , dans le cadre de École doctorale sciences de l’homme, du politique et du territoire (Grenoble) , en partenariat avec Les métiers de l’histoire de l’architecture, édifices, villes, territoires (Grenoble) (laboratoire).
Direction : Catherine Maumi

Soutenance : 17 décembre 2015

Composition du jury

Carola Hein
Marc Bourdier
Judith Le Maire de Romsée
Jean-Louis Violeau
Philippe Bonnin

Résumé

Ce détour par la pratique du machizukuri au sein du laboratoire du professeur Satoh Shigeru à l’université de Waseda apporte un autre regard sur les compétences de l’architecte. Le machizukuri s’inscrit dans le contexte particulier de la ville japonaise : sa morphologie, sa structure sociale et ses politiques urbaines. Le travail de « traduction » se poursuit par une histoire architecturale du machizukuri qui renseigne la formation d’outils et de pratiques spécifiques au sein du département d’architecture de l’université de Waseda. La thèse analyse la mobilisation de ces compétences au sein des exercices de préparation à la reconstruction dans l’arrondissement de Shinjuku conduits par le laboratoire de Satoh Shigeru et la manière dont l’architecte se positionne au sein d’un réseau d’acteurs.La thèse a été menée au sein du laboratoire les Métiers de l’Histoire de l’Architecture, édifices-villes-territoires, ENSA de Grenoble.

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